04 août 2007

Philosophons un peu

Chez moi

Dans les rues de mon quartier, il y a des enfants, des étudiants et des condos. Et biensûr des maisons de retraite. Rien d’étonnant la vie dans l’ensemble.

Et ça me fait sourire de me dire et de constater que j’étais aussi petite que 50 cm et que je ne pesais même pas le dixième de mon poids d’auj. J’ai de la difficulté à l’imaginer une chance que les photos existent pour me démontrer le contraire. Et j’ai beaucoup de misère à me voir vieillir.

Me voilà assise sur mon balcon je réfléchis à ce silence qui y règne à des heures très tardives. Pour un laps de temps, en fermant les yeux, je me transporte dans tous les coins du monde de mes pensées.

Plus je suis sidérée par la complicité des touts petits, des jeunes et des vieux de ce que je vais devenir. On dit toujours qu’il y a un décalage de génération mais je me rends compte aussi bien que ces personnes de l’âge d’or on été aussi jeune un jour et ils ont aussi eu leur temps de rébellion et de liberté. Et je me demande pourquoi ces gens là (ce que je vais devenir) ne saisissent pas le besoin des plus jeunes de courir vers l’inconnu. Ils l’ont bien fait un jour ou penser à le faire un jour. Je me dis que le système social finit toujours par corrompre les âmes les plus libres.

Et que la vie matérielle finit toujours par nous ramener sur terre.

Est-ce une mauvaise chose en soit ? Je ne pense pas … la vie est une parabole comme le dit si bien mon père tu nais, tu grandis puis tu rejoins la mère terre.

Quelle année

Cette année je me suis abstenue de regarder les nouvelles. Et me voilà revenue dans la société, je me rends compte que rien n’a changé. L’Irak, les états unis, la Palestine, Israël la Russie et la France sans oublier notre huard qui défie le billet vert de nos voisins. Et bien entendu notre Afghanistan, les terreurs des attentats suicides, l’écologie, finalement chaque année on retrouve la même chose. Ah oui, il y a le pont du Minneapolis qui s’est effondré. On a devancé les américains à ce chapitre (le viaduc de la concorde). Les bavures continuelles au Maroc.. Rien de nouveau. Quel ennuie!!!

Montréal,

C’est la ville où il faut être dés que le soleil pointe du nez, pas besoin d’aller nulle part ailleurs on ne s’ennuie pas. Même new York peut rougir devant la frénésie qui se trouve dans cette île. D’un festival à un autre. Les filles dont la longueur de leur jupe est inversement proportionnelle avec la Température extérieure. Les soirées qui n’en finissent plus. Et surtout regarder cette ville lumineuse la nuit du belvédère Mont-Royal démontre que la ville île est une ville sans comparaison avec aucune autre . .

1 commentaire:

Loula la nomade a dit...

Salut Chaymouch,

A la bonne heure a lalla! Enfin, tu postes à nouveau. Oui, Mtl est belle. J'en garde un souvenir agréable de mes années vécues là-bas. Faut dire aussi que tu habites un petit coin sympa.
Bonnes ballades & Mwah